La nuit se déploie, épaisse et silencieuse,
Où l’espoir est fugace,
Elle marche, le cœur alourdi par la tristesse,
Dans un monde où la lumière s’efface.

Ses yeux, fatigués de chercher un éclat,
Captent les ombres d’un rêve qui s’éteint,
Sur le chemin sinueux des attentes déçues,
Elle avance, solitaire, vers un destin incertain.

Les échos des promesses, jadis illuminantes,
Sont devenus des murmures, éteints et lents,
Chaque souffle qu’elle prend est un rappel cruel,
De la lueur d’espoir, maintenant irréelle.

Les souvenirs heureux se fanent avec le temps,
Laissant place à l’obscurité d’un futur décevant,
Elle cherche en vain un signe de rédemption,
Mais la lueur d’espoir a quitté son horizon.

La clarté d’un rêve effacé,
Au fil des nuits interminables,
Lueur d’espoir perdu, son chemin reste instable.