La nuit s’installe, sous un ciel voilé,
Elle sent les soupirs,
Des âmes passées, qui hantent ses veines,
La marque de la lignée, gravée dans ses peines.

Ses yeux reflètent l’ombre d’un héritage,
Une chaîne invisible, tissée de leur passage,
Elle avance, chargée d’un poids ancestral,
Sur un chemin tracé par des mains spectrales.

Les échos du sang résonnent dans son cœur,
Comme un chant ancien, porteur de douleurs,
Chaque pas qu’elle fait, chaque souffle pris,
Porte la trace de ceux qui l’ont précédée, sans répit.

Dans l’obscurité dense de son destin scellé,
Une lumière pour se libérer,
Mais la marque de la lignée, ancrée si profondément,
La retient captive, dans ce sombre mouvement.

Cherchant la clarté dans ce cycle perpétuel,
Mais l’ombre de sa lignée, comme une étoile éteinte, Guide ses pas, jusqu’au bout de la plainte.