Sous le poids des souvenirs qui grondent,
Chaque battement de son cœur brisé,
Rappelle les instants d’un passé tourmenté.

Les cris étouffés résonnent dans sa tête,
Des murmures de douleur, des promesses incomplètes,
À chaque souffle, un écho se fait entendre,
Témoin des jours où elle n’a su se défendre.

Le temps passe, mais rien ne s’efface,
Les cicatrices restent, comme une trace,
D’une vie marquée par les coups du sort,
Par les silences lourds, par les amours morts.

Elle regrette les mots criés dans le vide,
Les larmes versées dans le noir, timides,
Chaque écho de souffrance la ramène,
À ces moments où elle se sentait enchaînée.

Errant dans un désert de douleur,
Cherchant un écho d’apaisement, une chaleur,
Mais les ombres la suivent, sans pitié,
L’écho de sa souffrance ne cesse de l’ébranler.

Elle se perd, dans un labyrinthe sans fin,
Cherchant la sortie, mais ne trouvant que le chagrin,
L’écho de la souffrance résonne encore,
Et dans ce vacarme, elle se noie, elle s’endort.

L’aube se lève, mais l’écho persiste,
Répétant sans fin la douleur qui existe,
Une issue, un silence salvateur,
Mais l’écho de la souffrance est son seul narrateur.