Elle marche, solitaire, sous un ciel parsemé,
Où les étoiles semblent murmurer des secrets oubliés,
Chaque regard est une lueur d’infini,
Chaque pas, une trace dans le sable du temps qui fuit.

Les souvenirs se mêlent aux rêves égarés,
Comme des mirages, des reflets de ce qui a été,
Elle cherche, parmi les ombres du passé,
Ces éclats d’éternité, ces moments figés.

Les promesses faites sous des lunes éphémères,
Sont gravées dans sa mémoire comme des éclats de verre,
Elles brillent, elles coupent, elles l’appellent,
Vers un horizon où le temps s’étend, éternel.

Elle ressent la morsure du temps qui s’efface,
Dans chaque sourire fané, dans chaque étreinte qui se lasse,
Mais au fond de son être, une étincelle persiste,
Un désir de retrouver ces instants, purs et limpides.

Les visages aimés, disparus dans l’oubli,
Reparaissent dans la nuit, comme des étoiles infinies,
Elles sont là, immobiles, dans un ciel d’éternité,
Des fragments d’âmes, des éclats d’une réalité effacée.

Elle sait que tout est voué à passer,
Que le temps est un fleuve qui jamais ne s’arrête,
Mais elle continue, guidée par cette lumière,
Ces éclats d’éternité, ces souvenirs chers.

Dans le silence, elle écoute le murmure du vent,
Portant avec lui des échos d’un temps révolu,
Et dans ce ballet silencieux, elle trouve la paix,
Sachant que ces éclats sont à jamais gravés, dans l’éternité.