{Caleb}

"Il y a un homme au monde qui n'a jamais souri. Vous devez connaître sa tragédie, les dernières années par cœur. Au début il y avait la mère, le père et l'enfant - un silencieux petit garçon dérangé, dont la vie devait être détruite, connu depuis ce jour comme son père, Caleb."

Sa mère avait trouvé un excellent moyen
D'éviter le pire avec un petit mensonge blanc,
Il pense qu'il avait manqué la chose d'après
Mais maintenant il est assez grand pour le comprendre, d'une certaine manière.

"Père dit "je suis désolé" une fois seulement à ma connaissance"
"Les mots n'étaient pas supposés faire mal,
Juste te détruire, mon stupide fils... "
Une personne peut faire la différence, parfois...
Juste tourner la tête quand l'enfant est immobile et a un cou faible.

Sourit à ses funérailles, "heureux que tu sois mort."

Toutes les solutions, alors, furent seulement des problèmes voilés
Collant sur son visage, prêt à effacer un jour de plus...

Mère était cependant confiante,
Bien qu'ils le firent strict,
Éduqua son fils
Au bout du tunnel réside toujours une petite lumière.
Ça n'était pas un mensonge, c'était son espoir
Que tout aille bien un jour
"Il peut réaliser chacun de ses rêves, je suis heureuse tant qu'il ne l'est pas. "

"Je le hais et la peur ne peut l'affronter
L'enfant n'est pas droit, il est ma plus grande honte"

Sors, crée le tonnerre,
Et reste droit sous
Ce vieux pommier
Où des serpents morts le laissent se nourrir de ses pommes

Des espérances perdues, tous ces doux mots
Pourraient le blesser un peu plus, maintenant.
D'une manière ou d'une autre, il a perdu son chemin une fois de plus

Sorti du lac, il se dirigea bruyamment vers le monstre qu'il aurait dû fuir depuis des années.
Le passé l'avait rendu aveugle dans le sens où il avait fait de la souffrance son mode de vie.

S'ensuivit son père, replié sur lui-même, Caleb connaît le marché.
Il est le portrait d'un homme
Que sa mère a formé pour haïr infiniment.
Elle était la bête, une sainte mortelle,
Mauvaise de diverses manières
Voulait poursuivre la mascarade
Jusqu'à la fin valsant en même temps

Au-dessus des collines, sous la mer,
Combattant la volonté, le monde entier
Pourquoi un homme conduisant un corbillard
Vit dans la peur, le don et la malédiction

Les prenant tous, les prenant tous
Poussant le mur, plus en dehors.
Quand rien ne bouge, tout va bien,
Une décision à laquelle il peut trouver un moyen de vivre avec

... et les fleurs séchées sont si belles.
Et cela s'applique à toutes les choses vivantes, et mortes.
Pour cela je fais mon temps... dans ma suite en Enfer.

"Maintenant je sonne la cloche pour raconter au monde,
Je serai prêt quand ils sortiront ceux qui seront prochainement morts contre le mur... "
Oo-oo-ooo
Ce mal nécessaire n'a pas de cœur
Oo-oo-ooo
Les fleurs et les gens qu'il enlacera maintenant
Un prix qu'il doit payer au service d'un froid
... Un quelconque Dieu.

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