Translation of El Anciano y El Niño from Spanish to French
Quelque chose que je ressens dans ma tête
Ça me fait mal depuis plusieurs jours
Mes mots s'emmêlent
Je ne parle pas encore bien
Mes yeux sont très lourds
Ma santé se termine
Et je n'ai jamais pensé que marcher me coûterait autant
Un vieil homme me disait
Alors que ses yeux pleuraient
Il disait vouloir voler loin
Alors qu'il regardait le ciel
Il se souvenait encore
Quand il travaillait dur
Et une attaque cérébrale
Ne lui a pas permis de faire quoi que ce soit d'autre
Il a commencé à me conseiller
Même si penser lui coûtait
Il a dit que sa jeunesse était
Comme un conte de fées
Pour un corps en déclin
Le temps est nécessaire
Même la rose la plus belle
Avec le temps, elle se fane
Le chêne pourrit
L'eau s'épuise
La fumée disparaît
Et les gens meurent
Il a ressenti sa vieillesse
En voyant ses petits-enfants grandir
Et maintenant il la ressent plus que tout
Cela l'empêche
Et moi, je vois
Que tout se termine
Rien ne dure éternellement
Le corps s'use
Le chêne le plus fort
Un jour, il tombera
Rien ne dure éternellement
Les enfants grandiront
C'est comme s'accrocher à une relation
Qui ne durera pas
Comme les enfants
Qui grandissent et puis s'éloignent
Je suis conscient que ceux qui ressentent et se basent sur le superficiel
Ne connaissent pas les âmes et réclament le matériel
Le vieil homme réfutait
Avec sa voix fatiguée
Il disait de lire la bible
De respecter les exigences de Dieu
Que la mort veut toujours te voir près de sa voix
Et les vices t'y rapprochent, ils sont un maléfice atroce
Et moi non, non, non
Ne me parlez pas de vices
Ce ne sont que des préjugés
Que les gens se sont faits
C'est à chacun de décider
Si sa vie dans la rue tue
Combien de drogués ne pourrissent pas avec leur argent
Nous, les humains, nous la gâchons
Nous passons notre temps dans les erreurs
Les conneries sont de la merde
Nous nous roulons dedans
Et beaucoup la gâchent
Ils font de leur vie un nœud
Parce que c'était plus fort
Et que Dieu me pardonne
Si j'explique tout si crûment
Nous, les humains, nous la gâchons
Nous passons notre temps dans les erreurs
Les conneries sont de la merde
Nous nous roulons dedans
Et beaucoup la gâchent
Ils font de leur vie un nœud
Parce que c'était plus fort
Et que Dieu me pardonne
Si j'explique tout si crûment
Personne ne sait si après
La mort nous pouvons nous voir
Si en se réincarnant au ciel ou en enfer
Si en enfer que tu gardes
Tu le gardes mais en ton moi intérieur
Et ton ciel c'est toi mais de ton côté tendre
Un côté tendre
Peut être de la compassion, la peur de se sentir seul
Seul cesse avec la religion
La solitude dans l'esprit
C'est la pire sensation
Et tu ne te sentiras pas seul
Quand Dieu t'accompagnera
Personne ne sait si après la mort
Nous pouvons nous voir, jamais
Si en enfer que tu gardes
Tu le gardes mais en ton moi intérieur
Jamais
Cheo Gallego
Toujours bien ouais ouais ouais