Safari : traduction de Italien vers Français
La nuit a mille portes
Et dans la tête il y a une ville entière
Qui souffle et qui respire
Qui souffre et qui t'attire
Toujours plus dedans
Toujours plus au centre
Toujours plus au milieu jusqu'à ce que tu ne distingues plus la frontière
Entre ta peau et le ciel
Entre ce qui est en morceaux et ce qui est entier
La nuit a mille yeux
Tu crois regarder et tu es regardé
Ce sont des temps de rock 'n roll
Où l'on reste sans souffle
Les records tombent aux Jeux Olympiques
Tout est surpassé en une seconde
Et dans chaque monde il y a un monde à l'intérieur
Qui a un monde à l'intérieur qui a un monde à l'intérieur
Il y a des armes dans les supermarchés
Et ils mettent des bips dans les jurons
Ils nous disent continuellement que personne n'est en sécurité
Mais je le savais déjà
Et ça n'a jamais été une bonne excuse
Pour me barricader à la maison
La télé allumée et la porte fermée
Safari
Dans ma tête
Il y a plus de bêtes que dans la forêt
Safari
Dans ma tête, uh, uh, uh, uh, uh
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
La terre vue de l'espace est une boule
Bleue et silencieuse
Mais si tu y vis tu te rends compte
Que c'est tout autre chose
Rien ne correspond, il y a des fissures
Et des fissures passe un peu de lumière
Qui s'étend dans l'univers
Prends tout ce que tu aimes
J'ai des diamants sous mes pieds
J'ai un océan dans mes veines
Chacun danse avec son démon
Et chaque histoire finit bien
Safari
Dans ma tête
Il y a plus de bêtes que dans la forêt
Safari
Dans ma tête
Il y a plus de bêtes que dans la forêt
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
Ouais, ouais, ouais, ouais
Feu
Eau
Électricité
Feu
Eau
Électricité
Feu
Eau
Électricité
Feu
Eau
Électricité
Uh
Ouais, ouais, ouais, ouais
Les singes sautent de branche en branche
Les singes sautent de branche en branche
Feu
Eau
Électricité
Feu
Eau
Électricité
Je goûte à la mort
La nuit qui passe plus vite
Sur des draps lents de corps
Sudés les yeux se ferment
L'enseigne de la dernière vie de lumière s'éteint
Volée on feint le silence parfait
L'extérieur te semble paisible
La nuit d'été pendant ce temps le bruit
Dans l'obscurité de mon âme qui court à toutes jambes
Frappe fort contre des murs de peau et d'os
Une paire d'ailes au vent, au vent, au vent
Une paire d'ailes au vent, au vent, au vent
Une paire d'ailes au vent, au vent, au vent
Une paire d'ailes au vent, au vent, au vent
Une paire d'ailes
Uoh, uoh
Boom, boom, boom, boom