Si, on te demandait s'il y a,
Quelqu'un qui t'a aimée au point
De penser qu'il ne voulait rien en retour,
Sauf que tu sois heureuse, qu'il te laisse en paix
Et de l'avoir à côté pour lui faire comprendre que pour toi,
Ce n'est jamais assez
Non ce n'est jamais assez, désolé de t'interrompre
Mais peut-être que tu ne te rends pas compte que pour moi
Le monde n'existe pas parce que tu existes d'abord

Toi qui me traverses et toi, toi qui habilles les étoiles
Le ciel et tu me convaincs que je n'en aurai jamais assez de toi
Et toi, ce à quoi tu ne t'attends pas
Toi qui pleures et ne caches rien
Même quand tu dis que tu as fait une erreur et que tu veux changer
Toi, si forte et seule, toi

Toi, si différente et pareille, toi champ de tournesols
Tu allumes mes sourires, quand avant de te déshabiller tu dis que
Tu as honte de moi et tu changes d'expression
Et tu dis aime-moi plus fort et tu fais trembler le monde
Mais tu ne comprends pas que, le monde n'existe pas
Parce que tu existes d'abord

Toi qui me traverses et toi, toi qui habilles les étoiles
Le ciel et tu me convaincs que je n'en aurai jamais assez de toi
Et toi, ce à quoi tu ne t'attends pas
Toi qui pleures et ne caches rien
Même quand tu dis que tu as fait une erreur et que tu veux changer

Toi, toi qui me traverses et toi
Ce à quoi tu ne t'attends pas, tu me convaincs que
Je n'en aurai jamais assez de toi

Toi si forte et seule, toi

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