Ay yo n'ai ni besoin ni besoin
Et quand j'ai besoin, j'ai, j'ai, j'ai
Et de ce peu que j'ai, je donne aux autres
Quand vous n'avez pas, demandez, mais n'oubliez pas de donner

J'ai un Dieu dans le ciel qui connaît mes principes
Et quand j'en ai besoin, il vient à moi pour me consoler
Mon Dieu, ce que je ne comprends pas
Pourquoi dans ce monde malade
Tu as beaucoup de serviteurs qui ont perdu leur humilité
Tu leur donnes un bon travail, ils ne veulent pas toucher le sol
Et ils utilisent leur grand salaire pour humilier les autres

Ay je n'ai ni besoin ni besoin
Et quand j'ai besoin, j'ai, j'ai, j'ai
Mais il y a des choses que l'argent, Lucho, ne peut pas acheter

Quelle barbarie,
Dis-moi et avec cette quarantaine
Celui qui n'apprend pas sera emporté par le Cucú
Javier Preda mon frère
Ay ay ay ay
Comme ça me fait mal
Je suis ému

Et je n'ai pas composé cette chanson
Pour offenser personne
Je l'ai faite pour dénouer le nœud
À celui qui se croit meilleur que moi
Si personne n'est meilleur que personne
Et personne n'est plus que personne
Parce que le plus grand parmi les grands
Dans ce beau monde est Dieu

Ay, je n'ai ni besoin ni besoin
Et quand j'ai besoin, j'ai, j'ai, j'ai
Et de ce peu que j'ai, je donne aux autres
Quand vous n'avez pas, demandez, mais n'oubliez pas de donner

Il y en a beaucoup qui vont au ciel
Et ils ne saluent personne
Quand ils descendent
Il n'y a pas de ravin qui les arrête

Je n'ai ni besoin ni besoin
Et quand j'ai besoin, j'ai, j'ai, j'ai, j'ai
Et de ce peu que j'ai, je donne aux autres

Et ainsi soit-il, mon fils
Ambrosito chante
Monte sur le capot, monte

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