Je porte mon blouson noir
parce que je n'ai pas d'espoir

Je porte mon blouson noir
parce que je n'ai pas d'espoir

Il s'est volatilisé hors de portée
ici, dans cette rue étrangère

Ma peau mon blouson noir
Mon bon vieil ami jusqu'à présent

Le clair de lune est si faible
Il éclaire à peine mes pleurs

Donnez-moi mon blouson noir
Ma noirceur me rappelle
Je longe les hurlements des sirènes
Grondant sur des terres arides
Ici dans la ville de mes insomnies
Déambulations j'erre à nouveau

Donnez-moi mon blouson noir
parce que je n'ai pas d'espoir

Il s'est volatilisé hors de portée
ici, dans cette rue étrangère
Alors j'arpente le trottoir
et ma soif ne s’étanchera, s’étanchera, s’étanchera pas

J'ai besoin de mon blouson noir
le reflet de mon cœur
l'obscurité est trop profonde
Elle avale toute la chaleur
Phares sur la piste silencieuse
Les bords acérés de la nuit

Ici, dans les hurlements de la ville
le vagabondage permanent
L'état brut étreint le très sombre grondement
et ma soif ne s'étanchera, s'étanchera, s'étanchera pas..

Les hurlements de la ville
Le vagabondage non-stop
L'état brut étreint le très sombre grondement
Les hurlements de la ville
Le vagabondage non-stop
L'état brut étreint le très sombre grondement

Les hurlements de la ville
Le vagabondage non-stop
L'état brut étreint le très sombre grondement

Je ne me rappellerai pas de ton parfum
Je n'ai pas saisi tes mains
Dans les hurlements de la ville
Je ne me rappellerai pas de ton parfum
Le vagabondage non-stop
L'état brut étreint le très sombre grondement

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