Ta-ta, ta-ra-ra-ta
Ta-ta, ta-ra-ra-ta
Ta-ta, ta-ra-ra-ta
Ta-ta, ta-ra-ra-ta

Et quand je mange, le soleil se couche
Le vent oscille sur un cerf-volant
Parmi des millions de personnes, je te choisis encore
Et il y a ceux qui arrivent avec une raison
Ceux qui passent comme une saison
Ceux qui piétinent un peu ton cœur et puis

Et puis ils s'en vont, loin, loin, loin, loin, loin
Comme une maladie, tôt ou tard elle s'en ira
Odeur de sangria dans cette rue (sangria)
Comme une maladie, tôt ou tard elle s'en ira

Si j'étais capable comme Pablo Neruda
Nous danserions déjà sur la lune
Mais le vin à cette fête, non, n'aide pas
Neru-Neruda, âme nue
S'il y avait encore du temps pour une excuse
C'est maintenant une fête dans la tête
Les doigts sur la peau, une ombre confuse
Neru-Neruda, âme nue

(Eh-eh-eh)

Et pendant que je regarde la télévision
Parmi des visages vides d'expression
Je me souviens de ton nom dans une chanson
Et il y a ceux qui arrivent sans raison
Ceux qui passent comme une saison
Et toi qui arrives droit au cœur et puis

Et puis tu t'en vas, loin, loin, loin, loin, loin
Comme une maladie, tôt ou tard elle s'en ira

Si j'étais capable comme Pablo Neruda
Nous danserions déjà sur la lune
Mais le vin à cette fête, non, n'aide pas
Neru-Neruda, âme nue
S'il y avait encore du temps pour une excuse
C'est maintenant une fête dans la tête
Les doigts sur la peau, une ombre confuse
Neru-Neruda, âme nue

(Ta-ta, ta-ra-ra-ta)
(Ta-ta, ta-ra-ra-ta)
(Ta-ta, ta-ra-ra-ta)
(Ta-ta, ta-ra-ra-ta)

Et alors nous partons, loin, loin, loin, loin, loin
Comme une maladie qui tôt ou tard s'en ira

Si j'étais capable comme Pablo Neruda
Nous danserions déjà sur la lune
Mais le vin à cette fête, non, n'aide pas
Neru-Neruda, âme nue
S'il y avait encore du temps pour une excuse
C'est maintenant une fête dans la tête
Les doigts sur la peau, une ombre confuse
Neru-Neruda, âme nue (eh)

(Ta-ta, ta-ra-ra-ta) Eh-eh-eh
(Ta-ta, ta-ra-ra-ta)
(Ta-ta, ta-ra-ra-ta) Eh-eh-eh
(Ta-ta, ta-ra-ra-ta)

Ta-ta, ta-ra-ra-ta
Ta-ta, ta-ra-ra-ta

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