{Dévier les cloches}

La place du marché n'a rien à vendre
Laissé seul son frisson d'auvent
Le vent siffle à travers le bois
Les dents de poisson happes la rivière
Les sommets perforent le ciel
Comme les orteils glacials d'un enfant
Plongé dans un courant
Que quelques uns d'entre nous connaissent
Le choc d'un impact ?

L'ombre dans les rues
Ressemble aux voiles du matin
La glace sèche dans les craquements de pierres
Où les larmes doivent t'elles tomber ?

L'essence dans le seau alimente les fusée jusqu'au paradis
Offrande d'encens, petite facture et citron
Battement de tambour dans les caves
Et les battements de coeur dans les cabanes
Les protecteurs se sont dévoilé pour la première fois dans le mois

Tu trouve quelques meilleurs amis
Nous nous tiendrons les uns les autres
Et je dévierais (tournerais) les cloches [2x]

Les nuages orageux passent et tout est à vendre
Le bavardage des rapides
Et échangeant le couché de soleil
Les gouttes croquent comme des os
A travers les doigts et les articulations
Pauvre Hans choisis le quartz bon marché
Dans les carrières et le bord de falaise

Un vieux groupe d'arbre de bois de santal
Avec du sang coagulé colorant l'écorce
Dents éclairés aux bougies
La demi-lune sourit dans le noir

Le groupe de motard fume
Au bord du lac
Des yeux blanc mépris
Il y a un esprit dans l'eau
Comme des photos dans la boite
Ils sont déchirés par le courant
Et écrasé par la pierre

Tu trouve quelques meilleurs amis
Nous nous tiendrons les uns les autres
Et je dévierais (tournerais) les cloches [4x]

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