{Fin absolue du bonheur}

La voilà qui descend,
Comme si ses ailes étaient clouées à terre
Un Polaroïd de la honte
La gloire pathétique du dernier ange

Le visage de la duperie avec les pieds cloués
C'est une "prieuse" privée de sa voix
Le poumon perforé fait ce bruit

Le cri qu'elle a fait
Était le cri d'un enfant mourant
La révocation de l’empathie
Le son d'un million
De rêves et de cicatrices
Fin absolue du bonheur

Béni sous un mensonge, son faible dernier petit "Pourquoi ?"
La fin sanglante d'un rêve
Ouvrez-lui la gorge et goûtez la crème (sous entendu le sang)

Elle porte sa couronne
Sur une tête qui faisait des révérences très basses
Une image mourante de mensonges
Une sainte torturée qui nourri les mouches

(Traduction assez complexe, avec plusieurs double-sens à mon avis, difficile de traduire exactement)

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