Un homme parmi les hommes is a song in French
On m’a dit que mon devoir était de protéger la patrie quand j’étais sous les drapeaux. On m’a dit : « Sois content qu’on ne t’ait pas plaqué sur le capot ! ». On m’a dit que la menace venait d’ailleurs. On m’a dit de ne rien faire et d’attendre le sauveur. On m’a dit : « Discutes pas ! ». On m’a dit : « Dépêches-toi ou c’est la porte si tu ne fait pas le quota ! ». On m’a dit : « N’ayez pas peur ! Je ne vais pas vous frapper. ». On m’a lancé la balle mais je ne l’ai pas attrapée. J’ai dit : « Le jeu est finit ! ». J’ai marché pendant la nuit. Je les ais vu accouplés pendant la saillie mais j’ai vu l’Asahi* les assaillir. Beaucoup d’hommes font les sousou*, se baladent en dessous. Ils sont devenus fous… Dans les ténèbres environnantes, rayonnante est la vérité comme Amaterasu*. Ici : beaucoup de maîtres de cérémonies funèbres ! Traitres ! Je ne vois pas vos habits ! Je ne vois pas vos appuis ! Bien maigres sont vos acquis… Debout K.O, les fleurs du mal ont éclos. Sourdes. Le débat est clos. Ici bas, il ne fait pas bon d’être un clone. Ne confonds pas le thé vert et le saké, le vulgaire et le sacré !
Refrain :
La vengeance dans la peau
Et le pardon dans le cœur,
Je n’ai pas d’ailes dans le dos.
Je n’ai pas ressenti la douceur.
Les primates imposent leurs normes
Aux quatre coins de la planète :
Je suis un Homme parmi les Hommes,
Frère. Une bête parmi les bêtes.
La vengeance dans la peau
Et le pardon dans le cœur,
Je n’ai pas d’ailes dans le dos.
Ils vont ressentir ma douleur.
Je suis là quand l’heure du combat sonne.
Un assassin parmi les traîtres…
Je suis un Homme parmi les Hommes,
Frère. Une bête parmi les bêtes.
Ca veut atteindre les sommets mais ça dégringole de la pente. C’est chacun pour ses fesses. Partout ça double, ça feinte… Ne réalises pas trop tard que tu t’es fait mettre à l’amende ! Méfies-toi de la braise incandescente sous la cendre… Nombreux sont ceux qui se sont fait bouffer pour avoir tendu la main à des gens dont les propos ne valaient rien. On leur a promis la lune : ils ont finit galériens ! Quand les bons sont en bas, les parasites sont en haut. La revanche n’est jamais loin. Ici, qui peut le plus, peut le moins. Qui prend leur bus arrive au terminus. Je ne suis pas Nostradamus mais j’ai vu un cataclysme entre Neptune et Vénus. A vrais dire, je n’en ai cure de perdre ce corps. Le silence n’est pas d’or. L’âme est le véritable passeport. Je préfère me sacrifier pour une cause plutôt que vivre pour rien dans leur putain de maison close. Tu sais de quoi je parle. Moi aussi, j’en ai fait parti. J’en reviens. Mon œil ouvert distingue les acariens, peut briser des carrières. Contre la malice d’en face, je ne suis pas armé d’un lance-pierre, technicien de surface sans serpillière.
Refrain
Le monde est obscur, intoxiqué, oxydé comme du mercure, contagieux. La haine est un mutagène dangereux. Si tu ne connais pas la compassion, éloigne-là de toi malheureux ! La compassion ne fait pas tout ! Je n’oublie pas d’esquiver lorsque je tends l’autre joue. Je n’oublie pas d’écouter celui qui est à l’autre bout. Je suis plus noir que blanc. C’est ainsi. Je le suis consciemment ces temps-ci. Prémunis-toi, ce texte est prémonitoire. Mieux vaut tout plier, oublier d’investir dans l’immobilier ! Tandis que la majorité ne pense qu’à s’amuser, la société s’apprête à la pucer. Marianne est un despote, veut contrôler mon destin mais c’est trop tard : son nom est dans mon death note. Bye bye ! Petite putain ! Chez toi, je ne peux pas trouver chaussure à ma taille. Les chefs de meutes mentent selon les besoins de leur plan. Beaucoup continuent de gober leurs fadaises comme des flans. Leur haleine a des relents de sulfure d’hydrogène* mais ils savent très bien caresser les zones érogènes*. Mon son, je l’ai forgé entre le marteau et l’enclume. Je me bats. J’y laisserai plus que des plumes.
Refrain