Yo, c'est bizarre quand tu regardes de près,
La gauche crie ""antifasciste"", mais t'as vu ce qu'ils ont fait ?
Des mots comme des armes, des slogans acérés,
Mais au fond, ils sont pas mieux, hypocrites déguisés.

Collectif Némésis, lynché pour des idées,
Juste parce qu'elles osent parler, qu'elles veulent s'exprimer.
Les valeurs de tolérance, c'est juste pour les écrans,
Dans la rue, c'est la violence, tu comprends pas vraiment.

Ils dénoncent la haine, mais l'utilisent comme un masque,
En se cachant derrière des mots, c'est eux les bourreaux en fait.
Antifascistes autoproclamés, c'est une farce,
En vérité, ils sont tout ce qu'ils dénoncent, c'est net.

À la marche des fiertés, Collectif Eros en souffrance,
Attaqués sans pitié, où est la tolérance ?
La liberté d'expression, ça marche à sens unique,
Si t'es pas d'accord avec eux, t'es réduit au silence.

Les coups et les cris, c'est la méthode qu'ils adoptent,
Ils prétendent lutter pour la paix, mais la violence est leur code.
On critique le fascisme, mais on agit de même,
Sous couvert d'idéaux, c'est juste un autre problème.

Ils dénoncent la haine, mais l'utilisent comme un masque,
En se cachant derrière des mots, c'est eux les bourreaux en fait.
Antifascistes autoproclamés, c'est une farce,
En vérité, ils sont tout ce qu'ils dénoncent, c'est net.

Liberté, égalité, c'est juste pour le show,
Quand t'essaies de parler vrai, c'est direct les gros mots.
Hypocrites masqués, leur vrai visage est sombre,
Ils prêchent la paix en public, mais en privé, c'est des ombres.

Collectif Eros et Némésis, des victimes du paradoxe,
Sous les bannières de l'amour, c'est la haine qui boxe.
La gauche radicale, néo-nazis, même combat,
C'est la violence qui règne, peu importe les débats.

Antifascistes, fascistes, la ligne est si fine,
Quand tu prends les mêmes méthodes, t'oublies ta propre doctrine.
La paix et la tolérance, faut les vivre pour de vrai,
Sinon t'es juste un oppresseur déguisé, rien de plus laid.

Ils dénoncent la haine, mais l'utilisent comme un masque,
En se cachant derrière des mots, c'est eux les bourreaux en fait.
Antifascistes autoproclamés, c'est une farce,
En vérité, ils sont tout ce qu'ils dénoncent, c'est net.

Alors, ouvrez les yeux, voyez les contradictions,
Pour qu'un jour peut-être, on vive sans oppression.
La vraie liberté, c'est d'accepter les différences,
Pas de les écraser sous couvert de bienveillance.