On aura beau parler de la pluie du beau temps
Ça n'a jamais ramené ni l'été ni le printemps
C'est à se demander si on sert à quelque chose
Qu'est ce qui va bien rester de nos cœurs, de nos causes ?
On aura beau courir et battre des records
Un jour on doit mourir avec ou sans remords
Les meilleurs et les pires finiront tous pareil
Quand y'aura plus d'avenir au jour du grand sommeil

Tout le monde se demande
Pourquoi je souris en disant ça
Déjà pleurer c'est pas mon genre
Mais c'est surtout parce qu'elle est la
cvant elle c'était bien
cvec elle c'est bien mieux
Je ne vois plus la fin
Quand je regarde ses yeux

On aura beau changer de pays de vêtements
On ne peut se dévêtir totalement de qui on est vraiment
c bien y réfléchir quelle est notre importance
Et que restera-t-il de nos guerres, de nos danses ?
Les sensibles et les fiers
Et tous les cœurs de pierre
cucun dans l'univers
N'a percé le mystère
Le pourquoi le comment
De ce si long roman
Qu'on lit en l'écrivant
Souvent trop tristement
Et qu'on appelle la vie
Et qu'on appelle la vie
On sait quand elle commence
Jamais quand elle finit

Tout le monde se demande
Pourquoi je souris en disant ça
Déjà pleurer c'est pas mon genre
Mais c'est surtout parce qu'elle est la
cvant elle c'était bien
cvec elle c'est bien mieux
Je ne vois plus la fin
Quand je regarde ses yeux

Tout le monde se demande
Pourquoi je souris en disant ça
Déjà pleurer c'est pas mon genre
Mais c'est surtout parce qu'elle est la
cvant elle c'était bien
cvec elle c'est bien mieux
Je ne vois plus la fin
Quand je regarde ses yeux