Voyage intemporel is a song in French
Frero ça s’tape un p’tit kiff sur une prod du Chicky
Y’a mes anges et démons qui chill, j’suis en mode ballek, Eikichi
Tu l’sais q’le mood est clean, dans ma te-té j’gravis des cimes pour fuir la terre que l’on décime, car c’est le diable que l’on décline
Frero j’ai l’œil du cinéphile, regarde cet art autour de toi, nature et science qui s’dessine, j’vois des détails tu vois des signes
Soumis aux lois du créateur, ya q’des faux gars, des vrais acteurs
Désirs en guise de réacteur, l’esprit s’affine si tu l’estimes
J’prends du recul donc j’reste a distance…
J’pense a mon vecu, mon existence…
C’est vrai c’monde est si dense…, j’vois sa beauté dans un silence
Le mental très loin des finances, c’est le bonheur dont j’suis friand
Esprit brillant, même si client d’affronter l’monde en l’déclinant, sur le divan, gros, j’mets 10 ans à trouver l’envie pour m’y rendre
J’me fais des crises de nostalgie, parfois j’repense aux temps d’jeunesse
C’est moi l’plein coeur de ma vie, mais j’la déteste autant q’je l’aime ( poto )
Fréros aiment rire, zéro ennemi, hero d’cette vie, Bedo d’belle weed, kérosène gris, émos d’ermite mais modernisé aux ères viles et aux airs vides d’ces beaux bélîtres et fausse élite qui ne mérite pas l’eau bénie.
Les khos s’évitent, l’edo lévite, les rends séniles, étranges et vides
L’espèce espère…
L’espèce espère…
L’espèce espère d’l’espèce et s’perd ( putain )
Frero ça s’tape un p’tit kiff sur une prod du Chicky
Y’a mes anges et démons qui chill, j’suis en mode ballek, Eikichi
Tu l’sais q’le mood est clean, dans ma te-té j’gravis des cimes pour fuir la terre que l’on décime, car c’est le diable que l’on décline
On se prend pour… mais on est qui ? Pour moi les yeux reflètent l’âme
Mental oskyz fait mon équipe, dans mon iris, vision d’éclipse
J’me sens comme un berserk et dehors c’est le sabat
Pour eux ça va si y’a pas d’sales âmes…
J’ai l’mental en pleine flemme
Même si le monde est contre toi, bat-toi et prend ce qu’on te doit
Levée d’niveau / levée d’rideau, la gloire vient après l’don de soi
La route qui mène au bonheur ( gros ) j’l’étudie couramment, même si plus rien n’est comme avant et que Le coeur et l’aura manque
T’sais q’le tout c’est d’avancer, de soutirer c’que l’art enseigne, eloigné d’ce mal ancien, dis toi q’le diable n’a pas d’enseigne. ( poto )