Alors je cris, j’écris et je rappe
Ok on va faire comme ça, vas-y c'est chaud
Alors je cris, j’écris et je rappe devant la famille, ou solo dans mon trip
À l’heure de minuit je guéris ou je dérape, ça dépend de la façon dont ça sort de mes tripes
Chaud sur la piste, les pneus qui dérapent, sur tous mes re-frés j’ai posé mes appuis
Oui car depuis, à chaque étape, c’est leur sourire qui me font gratter ces lignes
Alors je cris, j’écris et je rappe devant la famille, ou solo dans mon trip
À l’heure de minuit je guéris ou je dérape, ça dépend de la façon dont ça sort de mes tripes
Chaud sur la piste, les pneus qui dérapent, sur tous mes re-frés j’ai posé mes appuis
Oui car depuis, à chaque étape, c’est leur sourire qui me font gratter ces lignes
Tu connais les paroles de mes freestyles, écouteurs sur la barrière je suis calé
Jusqu’à ce que les potos viennent en fissa, neutralité sur mon visage
Pas besoin de ta boule de cristal, j’ai tous mes mots rangés dans le dictionnaire
C'est mon pistolet, donc quand je pisse du nez, je dessine les paroles de mes freestyles
Et pendant que je rappe, j’essaie de trouver la raison de ce mal
Pour que mes textes et pour que mes phrases forment un ensemble convenable
Car en effet pour écrire je me base sur le monde qui m’entoure, c’est ça l’impasse
Pas de détour possible et du coup j’écris de la merde assis au fond de la classe
J’écris de la merde et ça le problème, ça me plait pas, je supprime et je recommence
Je veux juste vivre une vie de bohème la remplir de poèmes et tout plein de romance
Je me trompe de dimension temporelle, quand je gratte et quand je pense
Aucun nom pour ce malheureux phénomène, aucun doute ce sera pas sans conséquences
Alors je cris, j’écris et je rappe devant la famille, ou solo dans mon trip
À l’heure de minuit je guéris ou je dérape, ça dépend de la façon dont ça sort de mes tripes
Chaud sur la piste, les pneus qui dérapent, sur tous mes re-frés j’ai posé mes appuis
Oui car depuis, à chaque étape, c’est leur sourire qui me font gratter ces lignes
Alors je cris, j’écris et je rappe devant la famille, ou solo dans mon trip
À l’heure de minuit je guéris ou je dérape, ça dépend de la façon dont ça sort de mes tripes
Chaud sur la piste, les pneus qui dérapent, sur tous mes re-frés j’ai posé mes appuis
Oui car depuis, à chaque étape, c’est leur sourire qui me font gratter ces lignes
Je cris à l’aide mais c’est pas efficace, je prie ma mère car c’est elle qui m’apaise
Je me dis reste où t’es, t’es à ta place, entêté je partirai pour un manège
Sans fin, des tours de magie j’en ai 120, à prendre mon envol j’y parviens
Je cris à l’aide mais c’est pas efficace, je prie ma mère car c’est elle qui m’apaise
Je me dis reste où t’es, t’es à ta place, entêté je partirai pour un manège
Sans fin, des tours de magie j’en ai 120, à prendre mon envol ouais j’y parviens
Car des tours de magie j’en ai 120, mais c’est sans vain
Donc je prends le large quand j’écris je regarde au loin ça m’évite de me perdre lâchement
Je me dis “lâche-toi, bat les couilles du classement, ouais mon gars dépasse-toi”, puis je tape en rage
Depuis j’ai écris pleins de premières pages, j’ai observé des millions de pigeons
Ça m’a fait sortir de ma cage, découvrir à quel point l’amitié c’est puissant
Alors je cris, j’écris et je rappe devant la famille, ou solo dans mon trip
À l’heure de minuit je guéris ou je dérape, ça dépend de la façon dont ça sort de mes tripes
Chaud sur la piste, les pneus qui dérapent, sur tous mes re-frés j’ai posé mes appuis
Oui car depuis, à chaque étape, c’est leur sourire qui me font gratter ces lignes
Alors je cris, j’écris et je rappe devant la famille, ou solo dans mon trip
À l’heure de minuit je guéris ou je dérape, ça dépend de la façon dont ça sort de mes tripes
Chaud sur la piste, les pneus qui dérapent, sur tous mes re-frés j’ai posé mes appuis
Oui car depuis, à chaque étape, c’est leur sourire qui me font gratter ces lignes