{Notre Parfaite Maladie}

On ne se l'est jamais admis mais on ne s'est jamais vu à oeil nu,
Mon loisir est de gémir et le tien est de gagner de l'argent,
C'est toujours un choc lorsque de vieux amis trépassent,
Mais avec toi ce n'est pas la mer à boire.

Ne parlons pas d'haine lorsqu'il y a enfer à payer,
Pour ma lâcheté et ton mauvais timing,
On ne se l'est jamais avoué mais on ne s'est jamais vu à l'oeil nu,
Mais ce n'est pas par manque d'essai,

C'était la parfaite maladie que nous avions,
Quelque chose pour se disputer et crier,
Qui puis-je voir pour être contaminé à nouveau ?
Et l'enfermer quelque part où elle ne sera pas arrachée ?
C'était la parfaite maladie que nous avions,
Et dans son absence se cache un fait douloureux,
Nous avons tous besoin de quelqu'un pour nous rendre fou.

Je ne l'ai jamais dit mais tu n'as jamais été le genre à être honnête,
Tu as essayé de fabriquer une histoire à aller se coucher,
Et maintenant nos jeux de Jekyll et Hyde me manquent,
Depuis le jour où nos chemins se sont séparés.

N'envoie pas une main à mon secours,
J'ai besoin d'un bélier,
Pour battre les raisons qui font que tu me manques douloureusement.
On ne se l'est jamais dit mais on ne s'est jamais vu à l'oeil nu,
Maintenant la vie n'a plus de but et est aussi ennuyante,
C'était la parfaite maladie que nous avions,
Quelque chose pour se disputer et crier,
Qui puis-je voir pour être contaminé à nouveau ?
Et l'enfermer quelque part où elle ne sera pas arrachée ?
C'était la parfaite maladie que nous avions,
Et dans son absence se cache un fait douloureux,
Nous avons tous besoin de quelqu'un pour nous rendre fou.

J'ai besoin de toi dans la télé,
J'ai besoin de toi dans le train,
J'ai besoin de toi dans toutes les choses,
J'ai besoin de toi dans les miroirs,
J'ai besoin de toi dans mon lit,
J'ai besoin de toi dans la télé,
J'ai besoin de toi dans le train,
J'ai besoin que tu me coupes la route,
J'ai besoin de toi dans les miroirs,
J'ai besoin de toi dans mon lit.

C'était la parfaite maladie que nous avions,
Quelque chose pour se disputer et crier,
Qui puis-je voir pour être contaminé à nouveau ?
Et l'enfermer quelque part où elle ne sera pas arrachée ?
C'était la parfaite maladie que nous avions,
Et dans son absence se cache un fait douloureux,
Nous avons tous besoin de quelqu'un pour nous rendre fou.

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