Tu es comme un réveil le matin près d'un ruisseau de montagne
Tu es comme regarder cet aigle flotter sur la brise
Alors que je t'écoute rêver à mes côtés
J'aimerais pouvoir t'appeler mienne

Mais tu appartiens là où les quatre vents soufflent
Là où les mustangs indomptés errent
Comme une douce pluie d'été, passant à travers
Je n'ai jamais rien vu d'aussi sauvage que toi

Je pourrais rester avec toi comme ça
Jusqu'au jour où l'amour n'existera plus
Les fleurs sauvages fleurissent dans un champ ouvert
Et se fanent dans un vase sur un rebord de fenêtre

Mais tu appartiens là où les quatre vents soufflent
Là où les mustangs indomptés errent
Comme une douce pluie d'été passant à travers
Je n'ai jamais rien vu d'aussi sauvage que toi

Il y a une partie de moi qui prie
Que tu accrocheras tes ailes un jour
Mais la partie qui t'aime vraiment
Espère toujours que tu ne le feras jamais

Car tu appartiens là où ton cœur peut être
Dehors dans l'ouvert, sauvage et libre
Comme une douce pluie d'été, passant à travers
Je n'ai jamais rien vu d'aussi sauvage que toi

Tu appartiens là où les quatre vents soufflent
Là où les mustangs indomptés errent
Comme une douce pluie d'été, passant à travers
Je n'ai jamais rien vu d'aussi sauvage que toi

Tu appartiens là où les quatre vents soufflent
Là où les mustangs indomptés errent
Comme une douce pluie d'été, passant à travers
Je n'ai jamais rien vu d'aussi sauvage que toi

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