Au quai des souvenirs évanouis, je t'attends, figée, immobile (immobile),
Le cours de notre amour s'est tu, doux et fragile (si fragile).
Ton ombre s'est éclipsée dans la nuit, furtive et légère,
Parti sans un adieu, sous une lune éphémère (éphémère).

L'écho de ton absence dans mon âme persiste (persiste),
Voyage interrompu, notre amour s'il existe.
Une dernière danse, mon cœur en réclame,
Dans le bal de l'absence, je murmure ton nom, j'entame.

(oh oh oh oh oh oh oh oh)

Les étoiles se sont éteintes, le ciel pleure de chagrin (de chagrin),
Mon cœur, sans ta lumière, erre dans le lointain (le lointain).
Chaque nuit, je scrute l'horizon, cherchant ton visage,
Espérant un signal, dans l'obscur silence, ton message (ton message).

L'écho de ton absence, une symphonie de douleur (de douleur),
Sur le Nil de notre amour, s'est perdue la ferveur.
Pour une dernière valse, mon âme s'élance,
Dans le vide de ton absence, je cherche ta présence (ta présence).

(oh oh oh oh oh oh oh oh)

Sous le firmament, j'envoie mes vœux, dans l'espace infini (infini),
Des mots d'amour perdus, dans l'écho de la nuit (de la nuit).
Retrouveras-tu le chemin, vers notre rivage d'antan ?
Ou suis-je destinée à danser seule, avec le temps ?

L'écho de ton absence, un chant mélancolique (mélancolique),
Notre amour sur le Nil, une fin tragique.
Une ultime danse, dans l'ombre de nos jours,
Je garde l'espoir fou, de ton retour, de notre amour (notre amour).
(oh oh oh oh oh oh oh oh)

Et dans le silence, ton absence est ma danse (ma danse),
Un écho lointain, dans lequel mon cœur se lance (se lance).
Au bord du temps, j'attends, espérant l'évidence,
Que le courant de l'amour, nous offre une dernière chance (dernière chance).

(oh oh oh oh oh oh oh oh)