Gourkilatent ouvre les portes, les keufs débarquent
Les couloirs sont des pièges, chaque miroir les marque
Les flics avancent, mais chaque pas les nique
J'les manipule en douce, sous mon joug ils flippent
Les reflets se multiplient, ils voient des ombres
Mais c'est eux qu'ils pourchassent, dans mes jeux sombres
Les flingues se lèvent, les doigts sur la détente
Gourkilatent se marre, l'illusion les tourmente
Dans ma citadelle de verre, les keufs sont mes jouets
J'les fais s'tirer dessus, ils voient que des reflets
Chaque miroir est un piège, chaque angle une embuscade
Gourkilatent les manipule, j'les pousse à la dégringolade
Les soldats débarquent, croient gérer le bordel
Mais chaque mur est un leurre, chaque ombre un appel
Ils se croisent dans le noir, voient des ennemis partout
Mais c'est leurs propres potes, que j'ai rendus fous
Les ordres se brouillent, les voix se mélangent
Les tirs éclatent, c'est le chaos qui arrange
Les balles ricochent, les vitres se pètent
Gourkilatent jubile, l'armée s'fait mettre
Les murs se resserrent, chaque reflet est mortel
Les soldats tombent un à un, perdus dans mon bordel
Ils tirent comme des dingues, chaque flash les défonce
Gourkilatent les broie, à la peur les enfonce
Les keufs paniquent, ils savent plus où viser
Chaque ombre est un danger, chaque pas les fait flipper
L'armée se désintègre, se tire dans les pattes
Les cris résonnent, ma citadelle les abat
Les généraux gueulent, mais tout part en couille
Les troupes s'effondrent, l'illusion les embrouille
Gourkilatent règne ici, maître du réel
Les keufs et les soldats, tous à ma merci, cruel
Dans ma citadelle de verre, tout a déraillé
Les keufs s'entretuent, par mes pièges embrouillés
Les soldats s'écroulent, niqués par leurs visions
Gourkilatent lâche l'nuke, bye-bye les nations