J'ai baisé ta petite amie la nuit dernière
Pendant que tu ronflais et bavais, j'ai baisé ton amour
Elle m'appelait Papa
Et je l'appelais bébé quand je lui donnais une fessée
Je l'appelais sucre quand je la dévorais vivante jusqu'à l'aube
Et j'ai dormi avec elle partout sur moi
De son front à sa cage thoracique, j'ai fait couler son cul
Parfois, je pensais que tu pourrais espionner
Vivant une sorte de fantasme effronté, mais non
Tu étais assommé
Mais nous étions tous assommés, tu sais
D'une certaine manière

Je suis complètement fou
Je sers trop de maîtres

Nous ne savions pas que tu casserais la bouteille
Dans laquelle la magie est venue pour utiliser ces éclats tranchants
Pour nous couper les poignets et le cou
Et tu le ferais aussi, tu es ce genre de mec
Mais tu ne saurais pas ce que tu fais
Parce que je ne le savais pas
Ta petite amie aurait pu être une victime de brûlure
Une amputée, un cadavre
Mais putain, je voulais baiser

Je perds ce qu'il me reste de ma putain de tête
Je sers trop de putains de maîtres
Je te l'ai putain de dit
Je perds chaque putain de morceau
De ma putain de tête, espèce de con !

Je te l'ai dit, je te l'ai dit espèce d'enfoiré

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