Il vaut la peine de les garder tous, les signes que tu dois déchiffrer
Les collines que tu grimpes souvent seul
À travers eux, lis ton histoire, échecs et victoires
À la fin, tu pourrais avoir besoin de ses mots

Oh, ignorant mon homme
Oh, ignorant mon homme

Je parle fort, je parle trop
À l'étranger ou à la maison, je me sens perdu
Mais s'il appelait mon nom, prenait mon nom
Alors je cesserais mes ennuis, arrêterais ma douleur
Et s'il savait comment se plier, au lieu de se briser
Alors je stoppe ma course sans repos dans un jeu imaginaire
Dans un jeu imaginaire

Il vaut la peine de tout ressentir, les larmes qui ne tombent jamais
Les sourires que tu feins parce que personne ne sait
À travers eux, lis ton histoire, échecs et victoires
Bien que tu souhaites que certaines pages soient déchirées

Oh, ignorant mon homme
Oh, ignorant mon homme

Je parle fort, je parle trop
À l'étranger ou à la maison, je me sens perdu
Mais s'il appelait mon nom, prenait mon nom
Alors je cesserais mes ennuis, arrêterais ma douleur
Et s'il savait comment se plier, au lieu de se briser
Alors je stoppe ma course sans repos dans un jeu imaginaire
Dans un jeu imaginaire

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