Tu cherches un abri, un réconfort fraternel
Tu tends les bras vers le miroir
Tu bouges avec peine et un regard sévère
Tu marmonnes un mélancolique Modugno
De ces violons joués par le vent
Le dernier baiser, ma douce petite fille
Brûle sur le visage comme des gouttes de citron
Le courage héroïque d'un adieu féroce

Mais ce sont des larmes
Pendant qu'il pleut, il pleut (ce sont des larmes)
Pendant qu'il pleut, il pleut (ce sont des larmes)
Pendant qu'il pleut

Magique tranquillité, indulgence voilée
Après l'ingrate tempête
Tu reprends ton souffle et avec un transport intense
Tu célèbres un doux et insolite réveil
Mille violons joués par le vent
Le dernier câlin, ma chère petite fille
Dans le souvenir ténu d'une pluie d'argent
Le sens impitoyable d'un non-retour

De ces violons joués par le vent
Le dernier baiser, ma douce petite fille
Brûle sur le visage comme des gouttes de citron
Le courage héroïque d'un adieu féroce

Mais ce sont des larmes
Pendant qu'il pleut, il pleut (ce sont des larmes)
Pendant qu'il pleut, il pleut (ce sont des larmes)
Pendant qu'il pleut, il pleut

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