{L'autoroute de l'aube}

Indiens rassemblés saignent sur l'autoroute de l'aube
Les fantômes chantent dans la fragile coquille de l'esprit des jeunes

Moi et mes -ah- mère et père -ah- et ma
grand-mère et mon grand-père nous conduisons à travers
le désert, à l'aube, et un camion chargé de travailleurs indiens
a percuté une autre voiture, ou juste - Je ne sais pas
ce qu'il se passe - mais il y avait des Indiens rassemblés
partout sur l'autoroute qui saignaient à mort
Alors la voiture pile et s'arrête. C'est la première fois
Que j'ai goûté la peur. Je devais avoir environ quatre ans, comme un enfant, il est comme une fleur, sa tête flotte juste dans la brise, mec
La réaction que j'ai eu, maintenant que j'y pense, en regardant en arrière - était que les âmes des fantômes de ces Indiens morts... peut-être un ou deux d'entre eux, couraient autour en flippant et ont juste bondi dans mon âme. Et ils y sont encore.

Indiens rassemblés saignent sur l'autoroute de l'aube
Les fantômes chantent dans la fragile coquille de l'esprit des jeunes

Du sang dans les rue de la ville de New Haven
Du sang tache les toits et les palmiers de Venise
Du sang sur mon amour dans l'été terrible
Sanglant soleil de la fantastique L.A.

Du sang crie dans son cerveau comme ils lui coupent les doigts
Du sang sera né à la naissance d'un nation
Du sang est la rose de l'union mystérieuse
Du sang sur le chemin, il me suit

Indien, Indien, pourquoi meures-tu ?
L'Indien dit pour rien du tout.

IMPRIMER LA TRADUCTION

CONSULTER LES PAROLES ORIGINALES