Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah

Santa Maria
Île née des rêves
J'ai perdu mes sens
Dans la fièvre qui brûle comme le feu
Santa Maria
La nuit sur tes plages blanches comme neige
Je tenais sa jeunesse dans mes mains
Bonheur dont on ne connaît pas le nom

Elle était un enfant du soleil
Belle comme un matin qui se réveille
Son regard était fier et brûlant
Et profondément caché en elle
Brûlait le désir, Santa Maria (Maria)
Oser faire le pas, Santa Maria (Maria)
De la fille à la femme

Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah

Santa Maria
Île née des rêves
J'ai perdu mes sens
Dans la fièvre qui brûle comme le feu
Santa Maria
Sa sauvagerie m'a fait vivre
Avec elle, s'envoler sur des ailes colorées
Vers un pays lointain et inconnu

Sans défense, je dérivais
Pris dans le charme de son sourire
Mais quand le jour s'est levé
J'ai vu les larmes sur ses joues
Le matin signifiait adieu, Santa Maria (Maria)
Et ma patrie, Santa Maria (Maria)
Était si infiniment loin!

Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah

Santa Maria
Île née des rêves
J'ai perdu mes sens
Dans la fièvre qui brûle comme le feu
Santa Maria
Jamais plus je n'ai ressenti
Comme dans l'ivresse des heures nocturnes
Le souvenir, il ne s'effacera jamais

Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah

Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah
Umdada, umdada, umdada, uh ah

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