Tu dis
Que tu vis comme dans une cellule bien domptée
Que près de lui
Tes fantasmes sont comptés
Et il t'a même refusé le droit de ressentir

Tu dis
Que tu rêves de briser les chaînes de ton nid
Et de faire fondre
De vieux désirs qui, gardés
Se sont transformés en ton seul vêtement

Pardon
Mais tu ne restes jamais
Quand tu as déjà calmé ta soif
Tu pars toujours
Après que j'ai fouetté chaque recoin de ta peau
Tu retournes vers celui
Celui qui ne te donne rien

Tu ne restes jamais
Tu viens me donner un moment de passion
Ces nuits de vide avec ton amour
Toute la soif que tu as accumulée avec lui
Tu ne restes jamais

Tu dis
Que tu rêves de briser les chaînes de ton nid
Et de faire fondre
De vieux désirs qui, gardés
Se sont transformés en ton seul vêtement

Pardon
Mais tu ne restes jamais
Quand tu as déjà calmé ta soif
Tu pars toujours
Après que j'ai fouetté chaque recoin de ta peau
Tu retournes vers celui
Celui qui ne te donne rien

Tu ne restes jamais
Tu viens me donner un moment de passion
Ces nuits de vide avec ton amour
Toute la soif que tu as accumulée avec lui
Tu ne restes jamais
Oh tu ne restes jamais

Tu ne restes jamais, chérie
Et tu rêves toujours de briser ces chaînes
Tu pars toujours avec lui
Et tu me laisses

Tu ne restes jamais, chérie
Et tu rêves toujours de briser ces chaînes
Après que j'ai fouetté toute ta peau
Tu retournes encore vers lui

Et c'est ainsi, chérie
Et moi, que faire

Tu ne restes jamais, chérie
Et tu rêves toujours de briser ces chaînes
Quand tu as calmé toute ta soif
Tu veux briser les chaînes

Tu ne restes jamais, chérie
Et tu rêves toujours de briser ces chaînes
Tu viens me donner un moment de passion
Et puis tu pars et t'éloignes

Tu ne restes jamais, tu viens me donner un moment de passion
Ces nuits de vide avec ton amour
Toute la soif que tu as accumulée avec lui
Tu ne restes jamais
Tu ne restes jamais
Tu ne restes jamais

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