Septembre
Dehors, il fait trop froid pour ton débardeur G-Star
Toutes les grandes questions, je les efface de la boîte vocale
Les jours raccourcissent et nous n'avons pas de travail
Mais j'ai encore de l'argent pour un peu de combustible
Nous traînons en banlieue et sommes pâles
La ville est en feu et l'école brûle
Mais nous allons bien et derrière nous le Bangbus
Pas de sommeil depuis longtemps, je crois que je vois des fantômes

Et ils chantent
Heya, oh, heya
Heya, oh, heya
Heya, oh, heya
Heya, oh, hey

Mon démon intérieur porte Butterfly et Bellstaff
Je tire juste pour chasser les fantômes
Si ce n'est pas avec le pistolet, alors avec la 808-Drum
Si ce n'est pas avec le sub, alors avec la JBL-Box
Dans mon sommeil, j'ai vu des chars arriver
Mais aujourd'hui, je tue cette peur avec trois bouteilles de vodka
Dans le coffre, plus neuf canettes de Red Bull
Parce que ça apporte la paix comme l'UNESCO de merde
Ne dis pas : « Le ciel est la limite »
Il sera divisé en deux
Je suis high comme Bob Dylan
Tout devient léger en moi
Ouais, je sais que l'hiver arrive bientôt et il ne neige pas de mille
Je sais que tu serais là si « Milky Chance » jouait ici
Aujourd'hui, je suis comme toi, convaincu de moi-même
J'efface toutes les voix méchantes de la boîte vocale
Je ne suis pas parfait, mais c'est

Septembre
Dehors, il fait trop froid pour un débardeur G-Star
Nous avons de l'alcool de la station-service, car nous avons besoin de combustible
J'efface simplement les grandes questions de la boîte vocale
Et je mets ce qui me fait peur dans un papier et je le brûle
Et je le brûle

Heya (heya, oh)
(Titres négatifs, des milliers de pays pleins de déchets)
(Heya, heya, oh)
(Stress constant, plus les annonces
Je me sentais étranger ou seul)
(Heya, heya, oh)
(L'industrie de la musique est fausse, comment peut-on être si négatif ?)
(Heya, heya, oh)
(Ils disent, mais peut-être que le moment ne passe pas)

Septembre
Dehors, il fait trop froid pour ton débardeur G-Star
Toutes les grandes questions, je les efface de la boîte vocale
Les jours raccourcissent et nous n'avons pas de travail
Mais j'ai encore de l'argent pour un peu de combustible
Nous traînons en banlieue et sommes pâles
La ville est en feu et l'école brûle
Mais nous allons bien et derrière nous le Bangbus
Pas de sommeil depuis longtemps, je crois que je vois des fantômes

(Heya, heya, heya, heya, oh)
(Heya, heya, oh, heya)
(Heya, oh, heya)

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