Et elle est comme une chanson
Une chanson que le vent siffle incomplète
Elle est morte sur les pentes d'une colline quelconque
Le poète est parti et même le poème est mort
Il laisse un bourgeon, un bourgeon avec tout son charme caché
Il est parti en se vantant de sa bravoure avec son oubli
Aujourd'hui, le bourgeon de l'oubli est déjà une fleur

Tes désirs d'amour me font mal
Ils me font mal comme s'ils étaient les miens
Et ça me fait mal de te sentir ma petite fille
Pleine d'amour avec tes mains vides

Tes désirs d'amour me font mal
Ils me font mal comme s'ils étaient les miens
Et ça me fait mal de te sentir ma petite fille
Pleine d'amour avec tes mains vides

Une bougie allumée d'amour
Des illusions qui meurent perdues en vol
Qui brûle toutes ses émotions et ses désirs
Et en brûlant, sa lumière de passion s'estompe
La fleur a ouvert ses pétales
La rosée l'a ébranlée par un baiser matinal
Mais ce baiser a inondé sa poitrine de froid
Et ainsi l'étoile de son ciel s'est éteinte

Tes désirs d'amour me font mal
Ils me font mal comme s'ils étaient les miens
Et ça me fait mal de te sentir ma petite fille
Pleine d'amour avec tes mains vides

Tes désirs d'amour me font mal
Ils me font mal comme s'ils étaient les miens
Et ça me fait mal de te sentir ma petite fille
Pleine d'amour avec tes mains vides

CONSULTER LES PAROLES ORIGINALES