Il y a une fête, quand même
Il y a une fête, quand même
Il y a une fête, quand même

Écoute le rythme (ouais, ouais, ouais)
Chante pour toi (uh, uh, uh-uh, uhh)
Écoute le rythme (ouais, ouais, ouais, eh, eh-eh)
Chante pour toi (ohh, uh-oh-uh-oh)

Mon déclencheur ne se bloque pas, c'est mon orchestre, conduit l'Askaph
Nous sommes les effrontés qui font grandir cela
Traduis, ne m'offre pas ce que tu n'as pas
Continue et montre le costume de ceux qui aiment être des otages

Que les crises cardiaques sont en vente
Les gens ne supportent pas le poids et ne savent pas ce qu'est la liberté
Si la dépression arrive, j'écris, je la renvoie
Et je la laisse partir dans le wagon d'une chanson

Comme j'aimerais avoir quelques vies de plus
Pour me tuer sans penser aux coûts de l'enterrement
Revenir, aller au cinéma et manquer le film
Le temps, qui s'en soucie, la vie circule

Fredonne ce que tu peux te rappeler
Je veux marcher sans penser à ce qui reste derrière
Je n'ai pas de quoi payer le bonheur, il n'y a plus de délai
Moi sifflant et le monde tombant en morceaux

Je révise cette chanson qui tourne dans ma tête
C'est la prière de celui qui ne prie pas
Je veux trébucher sur la chance, pour me présenter ? non
Pour lui cracher dessus pour ne pas être venu me voir plus tôt

Je veux trouver le diable ivre dans un parc
Et sans lui reprocher prendre quelques-uns de sa part
Ils disent que mes vêtements sont grands, vraiment ?
C'est pour que mon autre moi et tout ce que je porte, ey yo

(Écoute le rythme) la rue me protège, connaît mon visage et je ne cesse de fredonner
(Chante pour toi) et si des balles sonnent ou si la salle explose, je vais avec mon écouteur
(Écoute le rythme) la rue me protège, connaît mon visage et je ne cesse de fredonner
(Chante pour toi) et si des balles sonnent ou si la salle explose, je vais avec mon écouteur

Fredonne ce que tu peux te rappeler
Sans plus de charges que la normale
Je vais avec le quai, un type qui est soit pris par une voiture
soit témoin de ce qu'il ne veut pas voir

Fredonnant sur ces collines impérissables
Tennis suspendus, vêtements étendus
les gens chuchotent de la joie
Pour ne pas compromettre les malheurs d'autres vies

Je veux que mon futur arrive vers onze heures
Qu'il me serre dans ses bras et dise "Mission accomplie"
Défiant le feu à chaque anniversaire
Je n'ai pas brûlé d'étapes, mieux encore je les regrette

Si le chemin se termine, nous improvisons
Si on ne nous aime plus, nous nous réinventons
Moi ici préoccupé par une chanson maladroite
Et beaucoup de têtes avec des désamours qui décapitent

Je fredonne, je rôde, parfois je me trompe
Quand je me comporte comme ce que je vois
Rêvant qu'on me poursuivait et je volais dans la fraîcheur
Soupirant, j'imagine l'enfant quand il grandit, je veux

la façon dont son innocence regarde
Sa simplicité sans mesurer les conséquences
Je veux que tu ne juges pas par ce qu'on te dit
Mieux vaut aller parler à ton père, mon pote

(Écoute le rythme) la rue me protège, connaît mon visage et je ne cesse de fredonner
(Chante pour toi) et si des balles sonnent ou si la salle explose, je vais avec mon écouteur
(Écoute le rythme) la rue me protège, connaît mon visage et je ne cesse de fredonner
(Chante pour toi) et si des balles sonnent ou si la salle explose, je vais avec mon écouteur

Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, il y a une fête

Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, il y a une fête

Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, il y a une fête

Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, quand même (oh)
Il y a une fête, il y a une fête
Il y a une fête, quand même

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