Dans la pénombre de ses jours, elle marchait sans espoir,
Des étoiles éteintes, des rêves broyés, la nuit noire,
Sur ses frêles épaules, un fardeau immense,
Une vie sans lumière, une sombre errance.

Chaque matin, elle se levait, brisée,
Des rêves enfouis, des désirs oubliés,
Des chaînes invisibles, une prison de grisaille,
Dans ce quotidien terne, elle se noyait sans faille.

Mais dans ses yeux, une lueur, un éclat,
Une flamme fragile qui ne s'éteignait pas,
Elle savait au fond d'elle, malgré les larmes versées,
Qu'une aube viendrait après la nuit glacée.

Elle a crié, hurlé, contre les vents contraires,
Elle a lutté, bravé, les tempêtes amères,
Chaque pas était un défi, chaque souffle un combat,
Mais elle avançait, sans jamais baisser les bras.

Dans la noirceur, elle a trouvé la force,
Dans la douleur, elle a puisé la ressource,
Elle a brisé les chaînes, écarté les décombres,
Elle a redressé la tête, sortie des ombres.

Les jours sombres ont cédé sous sa détermination,
Les étoiles ont repris leur constellation,
Elle a tracé son chemin, forgé son destin,
Elle a su qu'elle n'était plus seule, mais son propre soutien.

Maintenant elle se tient, victorieuse et fière,
Son passé n'est plus qu'un souvenir, une ombre derrière,
Elle a conquis sa vie, éclairé son avenir,
Elle est la preuve vivante qu'il ne faut jamais faiblir.

Alors toi qui lis ces vers, retiens cette leçon,
Même dans l'obscurité, il y a toujours un horizon,
Le combat est ardu, mais la victoire est douce,
Car au bout du tunnel, la lumière éclaire et nous pousse.