Ça joue au boss mais leur brigue j'la flaire
Ouais fais l'beau que ma rime t'cerne et qu'en prime j'te la ferme
Sur le bord que mes griffe s'acérent
C'que j'couve boy c'est les métriques que mes tripes savent faire
Quelques années sous une emprise totale
Les crèves-coeur j'cane et les mésestimes sautent uh
Y a quelques années c'était mépris total
Mais leur jeu j'l'ai retourné c'est maitrise totale
Le 8.0.8 frappe comme le tonnerre
Les années d'quête parallèles à mes guerres crâniennes servent
Odeur d'orage dans les airs
Ma foudre dans les seizes pour que le moment charnière sévisse
J'ai fragment d'plomb à prélever sous ma cheville
Mental comme cloué sous la chevrotine
C'est soit les ronces soit reléguer la cheum vie
Dans mes bas fonds d'pensées qui l'achèveront yeah
J'bosse dans mon sommeil j'suis chevronné j'ai beau l'omettre germe de rap de ma chair renaît
Plaisante fatalité sort que je laisse trôner j'connais le seum de ces hommes qu'on ignorait
J'ai la rage d'une lame renégate qui s'est forgée dans l'oubli
D'un impact sonore qui s'est formé dans l'onde
Voilà c'que j'ressens dans l'abdomen gars
Contrôle d'mon domaine j'garde, les facultés sont en nombre mais
J'traine une timidité nocive
Les maux par les mots ça s'mérite faut la motiv'
Pas comme ces types qui suivent les modes de la notif'
Qu'ils sachent que j'donne toute ma furie pour le motif mais
Mon carnet d'adresses là c'est très le vide
J'gratte récit funeste de mes traits livides
J'ai quelques ambitions qui traînent ici
On m'dit lunaire mais ce monde j'le quitterai lucide
Ça joue au boss mais leur brigue j'la flaire
Ouais fais l'beau que ma rime t'cerne et qu'en prime j'te la ferme
Sur le bord que mes griffe s'acérent
C'que j'couve boy c'est les métriques que mes tripes savent faire
Quelques années sous une emprise totale
Les crèves-coeur j'cane et les mésestimes sautent uh
Y a quelques années c'était mépris total
Mais leur jeu j'l'ai retourné c'est maitrise totale
Eh L'échec n'fait pas partie du programme
Attendre les autres pour agir ça rétrograde
Trop d'égarement ça détruit les os, l'crâne également je n'crains plus d'être craint nan j'suis monté d'un cran
Loin d'moi l'époque de la page blanche
J'aurais beau jouer l'studieux y a pas d'plan B
Mes deux pattes sont scellées dans un carcan
Un écart 'vec le sembler qui m'étreint
La marque féroce de mes crocs grave dans l'écorce ces écorchures, ces cassures qui m'trottent dans la tête
Comme des croches et ces notes n'en sont qu'un écho sublimé j'fais briller l'vice et mon tourment l'atteste
S'trahir sois même pensant raser tout remord, jusqu'à c'que tout remonte, retournement d'adresse
C'est bien beau d'ves-qui via des tournants mensongers mais s'agirait d'esquisser durement la vraie
Nature d'mes pensées, parce qu'à force de la poncer d'fond en comble en réponse l'armature se brise
Toutes ces tentatives d'insertion manquées sur des chemins sûrs hein c'est d'l'arnaque pure j'le dis
Quand j'm'emmerde j'développe absentéisme maladif
Et bien pour leur dire qu'leurs schémas m'indiffèrent
Manie l'fer d'la main gauche je n'crains plus le vide
Moi j'extrais l'mal à vif, et m'extrais, de mes chaînes même
Ça joue au boss mais leur brigue j'la flaire
Ouais fais l'beau que ma rime t'cerne et qu'en prime j'te la ferme
Sur le bord que mes griffe s'acérent
C'que j'couve boy c'est les métriques que mes tripes savent faire
Quelques années sous une emprise totale
Les crèves-coeur j'cane et les mésestimes sautent uh
Y a quelques années c'était mépris total
Mais leur jeu j'l'ai retourné c'est maitrise totale