Quand j'te parles moi je saigne,
Comme la sèvre qui coule des arbres
À mes yeux, t'es la plus belle,
Comme le ciel remplis d'étoiles
Quand j'te parles, moi je saigne
Je saigne
Je saigne
Je saigne
Quand j'te parles, moi je saigne
Je saigne
Tu m'regardes moi j'essaye,
D'attirer ton attention
Mais tu n'm'vois pas, comme des dizaines,
De lointaines constellations
Alors, je démarre, je démarre, je démarre
Dans l'espoir de trouver l'sommeil
Qu'est ce qu'il est bavard, bavard ,bavard
Mon cœur ne veut pas se taire
Son discours me tabasse,
Fais plus de bruits que le moteur
Peut-être qu'il est heure,
Pour la vérité, (cache, cache, cache)
Garçon imaginaire ,
Est parti et ne reviendra pas,
tu m'as montré le revers,
De toi-même t'existe pas
Quand j'te parles moi je saigne,
Comme la sèvre qui coule des arbres
À mes yeux,
T'es la plus belle,
Comme le ciel remplis d'étoiles
Quand j'te parles, moi je saigne
Je saigne
Je saigne
Je saigne
Quand j'te parles, moi je saigne
Je saigne
Doucement j'te regarde
Mon cœur il est très noir
J'observe ton sourire dans mon sas
J'aimerais rester mais je suis fugace
J'ai peur mais tu n'le sait pas
Comme Mars tu disparaîtras
Je sais que c'est pénible de devoir accepter mon départ
Mais ne m'en veux pas
Le cœur meurtri dans le vaisseau
J'me demande si j'fais le bon choix
Je sais qu'on n'se verra pas,
Mais J'ne cesse de me dire qu'on aurait pu se voir
Condamner à vivre dans le doute ?
À Vivre dans le doute
J'suis seul sur ma lune, je regarde vers l'avant
Dans le but qu'il n'y ai plus de retour
Quand j'te parles moi je saigne,
Comme la sèvre qui coule des arbres
À mes yeux, t'es la plus belle,
Comme le ciel remplis d'étoiles
Quand j'te parles, moi je saigne
Je saigne
Je saigne
Je saigne
Quand j'te parles, moi je saigne
Je saigne
je saigne
je saigne
je saigne
je saigne
Merci, je pense que j'ai compris