Y'a un monde enfermé en moi
C'est de la rage que je transforme en zic
Coeur immense et froid comme la Russie
J'me met au charbon j'le fais comme à l'usine
Raf c'est moi qui décide
J'suis bien chez moi
Au moins c'est paisible
Zin , ca m'parle pas du Brésil
Mais juste pour flexe
J'prends un billet pour les îles
Je sais plus quoi faire
Si ce n'est la diff ? (ça c'sst ton gars)
Y cassent du sucre en plus ils le sniff
Et pendant que je fais mes balances eux ils me snitch
Ptdr
J'Essaie de pas oublier que hier j'étais R
J'garde la tete haute quand faut faire profile bas
J'compte mes racks j'écoute pas vos débats
A quoi ca sert d'en gagner zin si t'en profite pas ?
La vie c'est une pute,
Mais chacun voit midi à sa porte
De mon point d'vue
La vie c'est une pute
Qui mérite que j'fasse
Un cuni à sa pote
Elle fait sbater celle là hein
Trop rapide je suis hors de porté
Seule une prod peut me réconforter
Ou bien l'amour de celle qui m'a porté
Mes sentiments partent à la dérive
J'essaie d'les rattraper en velib'
Pour devenir un master un élit
Faut faire un voyage, non un périple
Y faut les épaules
Ou les muscles à The rock
Tu m'as vu en show
C'est pas un show
C'est un concert de rock
La banque c'est vers où ?
Faut qu'je finance ma tape (minimum 30k)
Toujours au rendez-vous
Mais J'fais jamais de date (jamais de date bitch)
T'as tout mis sur moi (hoes)
T'as misé sur le bon cheval (c'est pas le tiercé)
J'ai ça en moi ça s'explique pas bitch
La défaite est inconcevable
A chaque session j'ai la dale
Comme si j'rappais pour la première fois
C'est bizarre à chaque fois que j'dis des trucs chauds
Ca laisse un froid (glacial)
J'me branle
Et j'remplie mon cahier de barz comme tous les jours
J'aime trop les rue de ma ville
Mais des fois je craque et je fuie ses tours
A chaque session j'ai la dale
Comme si j'rappais pour la première fois
C'est bizarre à chaque fois que j'dis des trucs chauds
Ca laisse un froid (glacial)
J'me branle
Et j'remplie mon cahier de barz comme tous les jours
J'aime trop les rue de ma ville
Mais des fois je craque et je fuie ses tours