Mets de la vaseline dans ta narine, j'arrive

En toute intimité
J'entame en toute impunité
Des slams en ouzbek irrités avec
La voix de Kirikou grippé
La probabilité de tout assimiler
Est inférieure à celle de
Confondre amertume avec acidité
C'est mignon
Parlons de vertèbres éparpillées
De zèbres aux yeux écarquillés, de glaires et
Des millions de merveilles que
Réservent mes ténèbres si peu ternes
C'est peut-être dû à ton sang
D'un si vif vermillon
Oui, je sais que t'aimes
Quand j'asperge les quenelles
De béchamel à la gerbe
Et de sorbets Berthillon
Tu caches ta tête sous l'oreiller
Pardi t'es moche d'la raie aux pieds
Vis donc ce cauchemar éveillé
Rempli de dérision
Tu claques des dents bruyamment, gars
Détends-toi je vais décroiser tes ligaments
Le tigre est en moi
T'es pantois, prends mon zgeg et pends-toi
Ou repens-toi
Sache que le monde est plus triste sans toi
Tu soulages tout ton village
Comme la Schtroumpfette
Je troue ton visage avec une fourchette
T'es déshonoré mais pour
Colorer ton mausolée
T'as plus qu'à faire un featuring
Avec Hélène et Dorothée

Hippocampe Fou en mode fâché
Bah ouais, ça m'arrive hein
Comme tout l'monde