Je pars au p'tit matin, dans la brume de Blade Runner
Comme j'aimais ton refrain, mais de la tristesse c'est plus l'heure
Pardon ma famille d'avoir si longtemps souillé ma vie
La peur dressait son barrage devant le flot de mon cri
Bonsoir Remords, Doutes, Angoisses
Fini le goût du tord quelque soit la route je passe
Je me questionne pour visualiser les marches
Ces minces prises qui m'ont permis de grimper dans l'arche
Mais en pause, vide, d'la bipolaire falaise
Le chemin accompli me donne des malaises
Il me reste le triple à faire pour continuer d'être fière
Mais rien à faire je suis qué-blo le regard en arrière
Allez souris Méli, l'air est bon et pour sûr la vue s'embellit
Allez souris Méli, l'air est bon et pour sûr la vue s'embellit hey
J'ai pris le temps de rêver, portée par les Anges
Les mésanges m'ont écarté des coups durs de phalanges
J'ai pris le temps de prier, dans la Hutte aux Indiens
Les guérisseurs ont guidé le panel des parfums
J'ai pris le temps de jouer, inspirée des tambours ghettos
Guerriers des temps bourgeois, guettant les futurs rois
J'ai pris le temps de partager ma peine comme mon amour
Quelqu'un dans le noir m'a dit qu'enfin il faisait jour
Troublant, l'impression que petite je savais mieux ce que j'avais à faire
Ma nature, bien annoncée, plus forte que les faux airs
J'revois des flashs de ballade, déjà en quête sans mon cartable,
Et cette question qui revient, Qui m'a fait taire, moi ou mes pères
L'erreur est de prétendre être meilleur que les gens qu'on aime
Moi j'aime les heures où je suis meilleure que moi-même
Pour cela, faudra un cocon, une bulle, du recul
Trouver ton Maître et non ta mule
La lumière du ciel m'a prise comme apprentie
Si tu peux pas me voir c'est parce que je t'éblouie
J'ai gardé mes secrets, tous ces souvenirs d'été
Comme des rêves à l'étranger, toujours j'pourrai danser
Parait que la descente c'est pas de mon edge, hey
Je révère les hautes pierres de Stonehenge
Outil mystérieux, décryptant les cieux,
Aura monolithique, oracle des éclipses
J'ai pris le temps de rêver, portée par les Anges
Les mésanges m'ont écarté des coups durs de phalanges
J'ai pris le temps de prier, dans la Hutte aux Indiens
Les guérisseurs ont guidé le panel des parfums
J'ai pris le temps de jouer, inspirée des tambours ghettos
Guerriers de temps bourgeois, guettant les futurs rois
J'ai pris le temps de partager ma peine comme mon amour
Quelqu'un dans le noir m'a dit qu'enfin il faisait jour
Féni
Féni
Féni
Féni
La lumière du ciel m'a prise comme apprentie
Si tu peux pas me voir c'est parce que je t'éblouie
J'ai gardé mes secrets, tous ces souvenirs d'été,
Comme des rêves à l'étranger, toujours j'pourrai danser
Parait que la descente c'est pas de mon edge, hey
Je révère les hautes pierres de Stonehenge
Outil mystérieux, décryptant les cieux,
Aura monolithique, oracle des éclipses hey