Cutomne est une chanson en Français
Hey mec ce matin j'ai le blues
L'humanité me casse les couilles
Je ne souris plus jusqu'aux oreilles
D K tell dem
Hey meuf ce matin j'ai le blues
L'humanité me casse les couilles
Je ne souris plus jusqu'aux oreilles
D K tell dem
Samedi matin l'automne est déjà l'unique chose
Le vent dans ses filets emporte les dernières roses
Seuls les corbeaux noirs osent brimer les morts qui reposent
Dites-leur que Baal dort là où fleurira la sauge
Il est temps mon amour
De panser toutes les plaies de la veille
Seul le temps qui s'écoule
Saura laver tout ce sang sur nos glaives
Les arbres pleurent les premiers départs vers les nuages
Les arbres pleurent les enfants du soleil
Et Baal chante toujours un peu la même rengaine
Sous les nuées de novembre
Hey mec ce matin j'ai le blues
L'humanité me casse les couilles
Je ne souris plus jusqu'aux oreilles
D K tell dem
Là où je regarde l'ami c'est loin derrière les villas
cucune chance que tu me suives endormis comme tu es là
Les oiseaux fuient l'hiver n'entends-tu pas leurs chants ne sont plus là
Le froids se glisse déjà contre les dos des indigents
Woya woya woya wo
Seuls les grands pins résistent
Woya woya woya
Sous les nuées de novembre
Le vent souffle sans relâche sur les cathédrales
Les feuilles dorées tombent à terre comme autant d'oriflammes
Seuls ceux qui passeront l'hiver seront les vrais champions
Seul dans la pénombre le sage prépare son opium
Les feuilles dorées tombent à terre comme autant d'oriflammes
Le vent souffle sans relâche sur les cathédrales
Seuls ceux qui passeront l'hiver seront les vrais champions
Seul dans la pénombre le sage prépare son opium
Samedi matin l'automne est déjà l'unique chose
Le vent dans ses filets emporte les dernières roses
Seuls les corbeaux noirs osent brimer les morts qui reposent
Dites-leur que Baal dort là où fleurira la sauge