Suffira d’un quart de tour,
Si tu m’appelles un d’ces soirs d’août,
Tu demanderas à mes gars,
Quelle est la routine dans c’genre de coup,

On délaisse les champs, Pour le sable, pour la mer,
Sans le guide pour bien faire,
Et tous ces détails dont il faut vraiment que j’me rappelle

À peine le temps de vivre, on s’enivrait,
Dans une caisse dans une fête pleine, toujours en virée
J’me souviens d’ces nuits d’été putain c’qu’on riait,
Qu’est ce qu’on riait, qu’est ce qu’on riait,

Je sais plus qui j’suis sans te mentir,
Retiens moi contre toi j’sais plus tenir,
Et si je me casse sans prévenir, bordez moi d’un tas de ces souvenirs


On fera des tours et des tours, sur des plages qu’on connaît déjà,
On s’en tape du rebelotte car les fesses s’relaient au moins et ça,
C’est ce qui nous intéresse, que le monde tourne et tourne
Que les gens passent et repassent même si parfois le temps est court

Dormir à plusieurs, dans des lits delattés,
J’sais plus vraiment où sont les gens qui peuvent en relater,
Et quand je nous revois avec ces pizzas dans l’sable froid,
Je me demande si le luxe m’attire vraiment tant que ça,


À peine le temps de vivre, on s’enivrait,
Dans une caisse dans une fete pleine, toujours en virée
J’me souviens d’ces nuits d’été putain c’qu’on riait,
Qu’est ce qu’on riait, qu’est ce qu’on riait,

Je sais plus qui j’suis sans te mentir,
Retiens moi contre toi j’sais plus tenir,
Et si je me casse sans prévenir, bordez moi d’un tas de ces souvenirs.

À peine le temps de vivre, on s’enivrait,
Dans une caisse dans une fete pleine, toujours en virée
J’me souviens d’ces nuits d’été putain c’qu’on riait,
Qu’est ce qu’on riait, qu’est ce qu’on riait,

Je sais plus qui j’suis sans te mentir,
Retiens moi contre toi j’sais plus tenir,
Et si je me casse sans prévenir, bordez moi d’un tas de ces souvenirs.