{Tube Screamer}

Montre bien cette image à la face de la Fin du Monde.
Dis-moi que j'existe réellement.
Du bout de mes doigts transparents, je touche ce monde qui s'effondre ;
Ça a l'aspect d'un utérus que l'on croit occupé par un foetus.

Ni le brouillard, ni la boue n'ont de couleur.
Ni le jour, ni la nuit ne peut briser cette douce rêverie.
La neige est froide et en automne, il y a du vent,
Le rêve est propice au bonheur !

Tube Screamer
Le jardin vert et les diodes rouges,
Les rires et les sanglots,
Dans cette décharge en continu, je n'entends que des cris.

Quelle joyeuse monochrome
Chose.
La distance la plus courte que les mains peuvent atteindre s'étend sur
Absolument tout.
Jamais la limite avec l'extérieur n'a été franchie
Et il en sera toujours ainsi.
L'espace est
Restreint.

Dix mille lux ont grillé la rétine ; celle-ci est désormais aveugle.
Une insupportable nausée occupe la place des pensées.
Le "tout" a une existence, le "rien" n'en a pas.
Le fond de la boîte un miroir de style simple !

Tube Screamer
Un monde doux de l'intérieur et dur de l'extérieur.
Harmonie et confusion.
Dans cette décharge en continu, un cri incessant poussé jusqu'à en perdre la tête.

AAAAH !
SCREAMER !

Si ta naissance
N'avait pas eu lieu, à qui ton
Nom
Aurait été destiné ?

Tube Screamer
Le jardin vert et les diodes rouges,
Les rires et les sanglots,
Dans cette décharge en continu, je n'entends que des cris.

Tube Screamer...

Harmonie et confusion.
Dans cette décharge en continu, un cri incessant poussé jusqu'à en perdre la tête.

PRINT THE TRANSLATION

VIEW ORIGINAL LYRICS