Des vies is a song in French
C'est la rosée qui t'enveloppe
Un sourire au coin du visage
Quitter les bras de cette blonde
Vécu comme un dernier outrage.
La neige est son dernier refuge
Même les étoiles ont témoigné
De son ultime forfaiture
De cette foutue médiocrité.
On sait jamais voir la douleur
De celui ou celle qui reste
On comprend jamais le malheur
De l'autre qui remet sa veste
Dans cette odeur de tendre bois
Et puis aussi de tendres gestes
On va rejoindre au déshonneur
Les bras de sa moitié qui meurt.
IL Y A DES VIES QU'ON NE VIT PAS
ET D'AUTRES QUI NE SONT QUE REVES
C'est dans ma tête un sourd mélange
Parfums de sexes acidulés
Courir la nuit, fendre la neige
Désirs d'un ailleurs apaisé.
La neige est son dernier refuge
Même les étoiles ont témoigné
De son ultime forfaiture
De cette foutue médiocrité.
On sait jamais voir la douleur
De celui ou celle qui reste
On comprend jamais le malheur
De l'autre qui remet sa veste
Dans cette odeur de tendre bois
Et puis aussi de tendres gestes
On va rejoindre au déshonneur
Les bras de sa moitié qui meurt.
Messieurs, Mesdames ne jugez pas
La détresse d'un amour en guerre
On revient parfois sur ses pas
Mais jamais sur une défaite.
On pourrait croire qu'au-delà
Des rires des flonflons de la fêtes
Il y a des vies qu'on ne vit pas
Et d'autres qui ne sont que rêves
C'est la rosée qui t'enveloppe
Un sourire au coin du visage
Quitter les bras de cette blonde
Vécu comme un dernier outrage
La neige est son dernier refuge
Même les étoiles ont témoigné
De son ultime forfaiture
De cette foutue médiocrité.
C'est la rosée qui t'enveloppe
Un sourire au coin du visage
Quitter les bras de cette blonde
Vécu comme un dernier outrage.
La neige est son dernier refuge
Même les étoiles ont témoigné
De son ultime forfaiture
De cette foutue médiocrité.
On sait jamais voir la douleur
De celui ou celle qui reste
On comprend jamais le malheur
De l'autre qui remet sa veste
Dans cette odeur de tendre bois
Et puis aussi de tendres gestes
On va rejoindre au déshonneur
Les bras de sa moitié qui meurt.
IL Y A DES VIES QU'ON NE VIT PAS
ET D'AUTRES QUI NE SONT QUE REVES
C'est dans ma tête un sourd mélange
Parfums de sexes acidulés
Courir la nuit, fendre la neige
Désirs d'un ailleurs apaisé.
La neige est son dernier refuge
Même les étoiles ont témoigné
De son ultime forfaiture
De cette foutue médiocrité.
On sait jamais voir la douleur
De celui ou celle qui reste
On comprend jamais le malheur
De l'autre qui remet sa veste
Dans cette odeur de tendre bois
Et puis aussi de tendres gestes
On va rejoindre au déshonneur
Les bras de sa moitié qui meurt.
Messieurs, Mesdames ne jugez pas
La détresse d'un amour en guerre
On revient parfois sur ses pas
Mais jamais sur une défaite.
On pourrait croire qu'au-delà
Des rires des flonflons de la fêtes
Il y a des vies qu'on ne vit pas
Et d'autres qui ne sont que rêves
C'est la rosée qui t'enveloppe
Un sourire au coin du visage
Quitter les bras de cette blonde
Vécu comme un dernier outrage
La neige est son dernier refuge
Même les étoiles ont témoigné
De son ultime forfaiture
De cette foutue médiocrité.