Je m’épanoui à travers se que je vie.
Abdoullah.
Mais au fond de mon âme je ressens toujours cette même douleur.
Je tiens l’équilibre entre bonne nouvelle et drame.
Dehors il n’y a que du halam.
Sa sort les armes pour quelques grammes.
Je pense à mes proches qui se préoccupe de m’on sort.
Si j’aller voir un psy il comprendrait la complexité de s’on job. Je pense à mes potes qui sont en taule ou qui sont mort.
Je pense au rappeur qui glorifie le crime et je me dis qu’ils ont tord.
N’oublié pas que les petits frères sont à l’écoute,
n’oublié pas que Kibilis et Lucifer sont parmi nous.
Cassé les clichés est un problème trop difficile à résoudre.
Je vais pas trancher les coups de seut qui ne répondent pas au salamalekoum.
Un grand respect à seut qui me soutienne depuis le début, avant j’étais sur le banc, grâce à vous je peut marquer des buts.
J’ai de l’espoir mais pour ces rudes je n’est pas fais de grosses études.
Grace à vous parfois le soleil éclaire ma vie sous le déluge. Parce que ma bulle est une cellule.
Mon vote fait pas de poids dans leurs urnes.
Heureusement que ma daronne na pas accoucher un soir de pleine lune.
Quesque je pourrais faire de ma vie appart rapper,
j’ai pausé des cv y a un peut plus de 2 piges personne ne ma rappeler.
J’ai l’aire embarrasser, je me suis juré de pas lâché.
C’est sa ou retourné dans la rue dillé ou tafé à la chaine.
C’est sa faire du blé esquivé ou manger la gamelle.
Un choix entre conté des palettes ou big crappé la main.
Pas à l'abri d’un accident ou d’une maladie grave.
Je te souhaite la paix que tu sois barbu ou que tu es la kipa. Le monde par en couilles.
C’est écrit est c’est ainsi
le générique de fin est triste et beaucoup plus long que celui d’un film.
Je plaide coupable si la vérité est un crime
si la liberté a un prix.
Je fais que lire à travere maritime.
Regarde les tragédies Israël Palestine.
L’Afrique est amaigrie
à l’heure ou l’Amérique nous souhaite bonne appétit.
On vie dans le gouffre
les autorités sans foute.
C’est la jingle et il nous laisse creuvé comme Íngrid Betancourt. La joie est la tristesse demeure indélébile.
Sarbi on n’a pas le sang pur
le destin d’Amélie.

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